mardi 25 novembre 2008
Chapitre quatrième :la suite dans l`ile nord…
Avant de faire le moindre bout de route sans musique ils s`achetèrent un sound système et purent alors avancer. La ferme de Su et Georges se trouve a une 50taine de bornes dans la campagne. En plus de ces deux aimables personnes il zy trouvèrent le fils de 19 ans (cheveux long), la fille de 16 ans (cheveux long), le filston de 11 ans en permanence colle a la tele ou a l`ordinateur, l`ouvrier de 20 ans (cheveux long) qui logeait dans la super grosse roulotte, et d`un couple d`Autrichien wwoofer. Une semaine Durant nos trois compagnons logèrent dans une somptueuse tente proche d`un big palmier. Au niveau des horaires de travail ce fut moins la joie que la semaine qui précédait, ça commençait approximativement a peux près vers les 11h et finissait quand ça finissait. Désherbage, tronçonnage, fendage de bûches, rangeage de bûches, démontage de poulailler, confectionnement de fromage… ce fut sympathique. Ils purent mettre a profit leur temps libres pour la coustumisation (l`aménagement) de leur camion… un grand lit, 2 bancs, une table et plein plein de rangements… comme ils l`avaient souhaite. Damien remis également a “neuf” ce qu`il pouvait du moteur… Pour changer leur repas de midi était compose de quelques misérable toasts garnis, cette fois ci ils eurent la chance de pouvoir manger debout dans la cuisine. Ne soyons tout de même pas de mauvaise foie, la cuisine du soir assurait grave, même si peut être la quantité n`égalait pas notre panse. Jerem sam et dam vécurent dans une atmosphère assez paisible, mis a part peut être lors qu`ils virevoltaient sur le trampo familial. (c`est extrêmement courant de voir des trampo dans les jardins Neozelandais). Le camion est fin pret et remplis de vivres gargantuesques, les 3 purent prendre la route vers la region de bay of prenty pour peut etre y trouver du travail...
vendredi 21 novembre 2008
paragraphe sixieme wwoof a new plymouth
La maison est coincee dans une zone residencielle a 10 min du parc ou ils ont campe. Ce n'est donc pas une ferme mais une maison avec un jardin est un poulailler. La famille est composee de jo-anne, sa fille et une colocatrice. Les trois wwoofers travaillent 4 heures le matin et l'aprem ils vont se ballader. Le travaille varie entre peinture et jardinage.
En fin de semaine ils deciderent de chercher un camion dans la celebre ville du savon, Jo-anne les enmenent faire le tour des concesionaires de la ville en vain. Jo-anne appella une annonce du journal, le type vient avec son van, il est grand, pas cher il est ok niveau vignette et tout, allez ils le prennent. Apres une negotiation ils l'achetent 2700 $. rendez vous pris pour le lundi pour la livraison.
Le dimanche dam et jeremy sont alles en stop a une competion de kite surf pour des renseignements. Le lundi le van est livre ils allerent a la poste pour les papiers et hop ils sauterent dans le nouveau van tout neuf de ses 500 000 bornes direction le cash convertor pour acheter de la vaisselle et une guitare. Dans l'apres midi ils allairent au prochain wwoof.
lundi 10 novembre 2008
Paragraphe cinquième : wwooof à Oakura
Ils partirent donc de la ville du savon en stop pour aller à 14 km au sud. Ils sont pris par le gérant d'un bar à Oakura, arrivés sur place ils allièrent rendre visite à la mer en se baignant grosse vague et fraîcheur sont là.
Là recherche du wwoof fut rapide on leur proposa de les emmener, ils sont accueillit par colin qui fit visiter la propriété de 5 ha :
un grand jardin, un verger, 1 poney, 2 brebis, 7 vaches, 1 chèvre, 1chien et des chats
la famille se compose de colin le père, de Michel la maman et de Jimmy et tara les enfants.
Les wwoofer sont logé dans une maison on ils y a tout le confort qu'il faut (trop bien)
le repas de midi fut composé de toasts avec entre des tomates et du concombre
Ils ne sont pas encore tout à fait bilingue, c'est donc tout surpris qu'on les emmena au surfshop local car colin crue qu'ils vouait acheter un surf.
Le premier travaille fut de désherber le verger après deux bonnes heures de travailles ils allèrent voire à quoi ressemble la plage qui est a 800 m c'est de la boulette gros vague et surfeur.
Le repas du soir fut bon et copieux.
Le lendemain matin le travaille fut du jardinage pendant trois heures l'aprème ils allèrent à la plage surfer avec les combines et les surfs des hôtes.
Les journées suivante furent toutes construite pareille le matin ils travaillent et l'aprèm ils surfent soit sur les vagues ou sur internet à là bibliothèque municipale.
Jerem eu un accident de débroussailleuse avec un faisan, bilan : une volaille aux four le lendemain
préparer par dam.
Paragraphe quatrième: New Plymouth, la ville du savon...
Se munissant de leur pouce gauche (ça fait bizarre) et de leur beau sourire, nos 3 autostopeurs galèrent un peux avant de se faire prendre par 3 loustiques en 4x4 qui les posent 25 minutes plus loin au bord de la route. Beaucoup de voitures rasent leurs pouces. Ils cassèrent alors la croûte et recommencèrent ensuite de ne pas avoir de succès. Stratégie: G1 (damien) s'en vas sur la route pour réduire le facteur masse humaine. Un p'tit bout de temps plus tard les trois se retrouvent dans la voiture d'un sympathique néozélandais en direction de leur destination: New Plymouth. Arrivé sur place l'autopreneur leur proposa de téléphoner à la ferme chez un de ses amis qui finalement n'était pas à la maison. Il les laissa alors à quelques pas d'une cabine téléphonique qui les informa que la ferme qui devait les héberger n'était plus en mesure de le faire... Ils zétaient 3, la carte de la ville trop petite ne leur permettait pas de se localiser, le soir allait rapidement venir. Ils retairent muet et évasif durant quelques instants puis partirent à la conquête de la périphérie de cette ville inconnue pour trouver où crécher. Vus les dépenses qu'ils zavaient déjà faites , l'option Backpaker (auberge de jeunesse) fut écartée. Le sourire revint aux lèvres quand ils trouvèrent, au milieu des lotissements à l'américaine, une oasis. De beaux arbres quasi exotiques les entouraient, une p'tite rivière coulait, l'herbe était tondue, des oiseaux bizarres sifflotaient... C'est évident qu'ils zinstallèrent campement ici. Ils regardèrent un film et s'endormirent paisiblement au son du clapotis de l'eau et de quelques oiseaux extraterrestres.
Le lendemain ils furent charmé par l'absence de vent dans leur cheveux et par le ciel bleu comme schtroumph qui dominait les arbres fougère. Ils zen profitèrent pour faire une matinée cirque et lecture. Chacun son challenge: Dam et Jérèm s'entraînèrent aux 4 massuess (dont l'objectif à terme est le 5 massues) pendant que sam essaie de marcher sur les mains. Après une bonne plâtrée de pâtes (clin d'oeil aux acteurs du réchaud-trip qui n'avaient pas de réchaud) ils plièrent bagages et les planquèrent dans les plantes avoisinantes. Cherchant la plage, ils passèrent par un magasin de plongée dont la dame leur affirma que la plage est à 2km dans cette direction. La marche sur la côte maritime dura une bonne heur..., ils jugèrent la plage "naze" et s'en retournèrent au campement. En chemin ils furent étonnés de trouver une bouteille de ... Chartreuse. Et oui celle qui vient de Voiron, Isère, France en version 1L jaune ou verte 35 ou 40$.
Pour vous lecteurs et rien que pour vois une petite aparté sur la ville Néozélandaise: Les rues sont quadrillées, les immeubles les plus hauts n'ont que deux étages et demis, il n'y a pas de rue piétonne, quand le bonhomme passe au vert ça veut dire que dans 3 secondes il serra rouge, tout sa agrémenter d'une douce mélopée.
Les journées se suivent et se ressembles les trois acoliques alternent entre jonglage, lecture et session internet au mcdo qui est à l'autre bout de la ville.
Dam et jerem testèrent l'ambiance des bars de la ville (très chaleureuse et c'est le bordel dans new plymouth ). sam écrit sur le zap book et travaille le blog.
Une gros journée pluie fit rester le trois compères toute une journée dans la tente a siester et lire
après la pluie le beaux temps c'est sous un grand beau qu'ils se lève, après une réunion ils décidèrent de passer une nuit dans une auberge de jeunesse en ville, le campement fut levé et ils se mirent a marcher, là un autochtone du pays leur proposa de les emmener (va marcher au bord de la route en france tu peut attendre longtime avant que quelqu'un de propose). A l'auberge prise de douche, internet, tel au wwoof (ils sont accepter pour le lendemain) repas.
Paragraphe Troisième: Wanganui...
Lautostop a bien marché. Les beaux paysages défilent à 110km/h (vitesse autorisée sur nationale). Leur autopreneuse maori appuya sur le klaxon de sa BMW en passant devant le cimetière de ses ancêtres. Il y a en Nouvelle-Zéland énormément de cimetières sans gros murs en béton.
Wanganui est une ville dans laquelle les gens sont quand même vachement plus aimables qu'à Grenoble. En l'espace de 20 minutes, pendant qu'ils élaboraient une stratégie, 3 personnes les interpellèrent pour savoir s'ils ont besoin d'aide. De plus, sur la route du camping, le Mr arrêta son gros 4x4, leur demanda leur destination à très court terme et les y emmena. Il y avait environ 7km. Nos amis furent bien content de n'avoir pas dus parcourir cette distance avec leurs gros sacs à dos.
Il fallait faire les courses. Donc après une analyse de la plage ouest de la NZ (fin sable noir, innombrables troncs et branches artistiquement rognés par le sable projeté par le vent, et puis des vagues des vagues et des vagues) les deux groupes de l'avant veille reprirent leur occupation.
Le camping était aménagé de douches et d'une cuisine cool! Grossièrement dit durant la journée du lendemain (le 28 octobre) ils ne firent rien de particulier à part une lessive et un aller-retour en ville. Depuis le début de leur voyage le vent n'avait cessé.
Suite à cette deuxième nuit au camping ils déménagèrent. Un p'tit tour sur internet à Mc Do (Bravo!) leur prouva la grande spontanéité des fermes wwoof: 18 messages envoyés, 15 réponces! Malheureusement seulement 2 furent positives. Ils prirent la décision d'aller à New Plymouth au nord de leur position pour travailler dans zune de ces fermes.
vendredi 7 novembre 2008
durant les arrêts successifs du train Dam, Sam et Jérèm se rendirent compte que Ohakune, leur destination risquait d'être fraîche. En effet Ohakune est une statio de sports d'hiver. Ils marchairent et le refirent à nouveau pour finalement faire 2 groupes. G1: Sam dont la mission était de monter les tentes dans le champ dans lequel ils entreprirent de passer la nuit. G2 cherchaient quelque part quelque chose à se mettre sous la dent.
Ils firent la connaissance avec l'étrange chant d'oiseaux indigènes alors qu'ils mangeaient.
Aux allant tours de 6hpm, suite à leur copieux dîné, ils eurent une envie somnolente et décidèrent de faire une p'tite sièste et de se relever vers la suite pour, dans la soirée, rencontrer la population autochtone.
Ils ne se réveillèrent que le lendemain à 6h30 (ça fait quand même la 3zième fois qu'ils se lèvent aussi tôt!). Suite à un très maigre déjeuné (1 pomme/perssonne), ils burent respectivement un café, un thé et un chaucolat chaud servis par le monsieur vachement mous. Les 6 ppels aux fermiers WWOOF eurent des réponses négatives. Les 3 décidèrent de fuir le froid perçant pour aller se réfugier aau bord de la mer à Waganui.
mercredi 5 novembre 2008
Chapitre troisième en attendant le camtar
Paragraphe premier : édition spéciale trains nz
Nos amis se réveille à 6H30 par des bruits de pas sur des marches voisines. Après avoir récupérer leur affaire dans le casier de la gare, ils firent connaissance avec le premier train, en voici quelques sympathiques caractéristiques:
- le train est un hybride entre un tram et un vraie train
- il faut emmener ses bagages aux wagon bagages
- Une dame te donnera un numéro de place
- à chaque gare il faut attendre que tout le monde ait mis ce qu'il faut dans le wagon bagages et aient demandé à la dame où il faut s'asseoir
- Les railles, sans doute en terre sèche, produisent interminables secousses verticales, horizontales et longitudinales
-Les petits sacs poubelle doivent être mis dans le grand sac poubelle qui passe toutes les 3h
-Incompréhensible et insupportable voix de la dame du micro il faut supporter étant donné qu'ils se trouvent dans train qui est non seulement normal mais de surcroît touristique
-Il faut patienter durant une demie heure dans une gare en attendant que l'ensemble des voyageurs ait mangé
Mis à part ces quelques bricoles les paysages, les forêts, les colines, les vaches, les moutons, sont magnifiquement bizard. Nos 3 amis se plaisent à sortir à l'avant du train où se trouve une plate forme de 4m² sur laquelle le vent souffle fort et où on entend la présence des railles qui finalement sont bel et bien en fer.
Paragraphe troisième: Ca a failli être le dernier jour à Auckland...
La mission de cette 25ième journée d'octobre fut pour nos copains de trouver un français qui leur échangerait son camtar contre un joli chèque. Ah oui ce récit à oublier de préciser évidement nos compagnon n'ont pas de traveller's chèques... ça aurait été beaucoup trop facille!!! La second option était de trouver une automobile à 1300$(leurs unique cash) pour une ou deux semaines et la revendre après pour en racheter une meilleure par la suite.
Ayant échoué leur mission, ils élaborèrent une nouvelle stratégie: Partir d'Auckland afin de fuir la ville, les dépenses excessives de dollars et les demoiselles trop chaudement habillées pour une température trop froide. Au passage les 3 remercient Mr manteau inventeur du manteau.
Midi approchait alors que les jambes supportant masse de bagages les menaient d'abord à la gare thoutchou puis au réel emplacement géographique de la gare.
Il était 3h PM il n'existent plus de transport en commun entre auckland (1200000 hab) et la capitale wellingtone bravo
Prévision d'une nouvelle nuit dans la ville de instabilité climatique L'aprés-midi des 3 collègues de route fut consacrée a absorption d'une bière, d'une partie d'age of enpire en réseau et de la lecture.
Albert Park représente bien la bizare flore d'Auckand :
grand palmier, eucaliptus, des arbre tordus et plein d'autre truc bizare ce qui plairaient a JR. bien entendue toutes les demi heures la pluie ponctua le sommeil et la bâche de sam ne peux pas toujours protéger de tout. Les trois humains ont trouvée refuge dans une maison à l'américain (comme toute les autre maison d'ailleurs).
Cette nouvelle rencontre fit dire à jeremy la future phrase légendaire "Par rapport à la nouvelle zellande la chartreuse c'est le sahara " et en effet après renseignement il pleut entre 1200 et 6500 mm d'eau dans le pays des kiwis. En parlant de kiwis ont peut affirmer que Gaelle Echelard est vénéré un peut partout dans le pays.