mercredi 24 décembre 2008


Paragraphe cinquieme : les retrouvailles


Misteur damien revient de Wellingtown dans un bus pour rejoindre le camion. Ils partirent de cable bay ou il se baigne dans une eau turquoise coqillage et gros vague sont au rendez vous.
Ils pasairrent de l'autre cote de la nouvelle zelande du pacifique a la mer de tasmanie. Ils trouverent ninety beach une plage de 90 miles de long ou ils garerent le vans carrenent sur la plage la classe nom ??
Une charmante demoiselle en panne de batterie demanda aux joli garcon de l'aider, ils accepterent et firent 30 metre avec le vans et senlissaire dans le sable alors que la marrer monte apres avoire desabler le vans, mis des buches sous les roues en vain. finalement un 4*4 de pecheures tira le vans et depana la demoiselle.
Apres ume belle nuit etoile mais mouillee par la rose. Ils prirent la direction de Kaitaia pour faire les courses de noel, internet et un ptit toure millitante dans les chiottes de mcdo.
Direction le Cape reinga, sur la route ils s'arretairent a Rawara : eau transparente, banc de poisson dans les vagues Sam entrepris la fabriquation d'une canne a peche.
A cote du vans arriverent 2 Alaskien (gens de Alaska) bien sympathique echange de mail, comparaison de jardin de vans car sam a fabriquer un ptit carre de verdure dans le vans compose de plante trouver dans la foret et d'un basilique (bibi).
Apres le depart de ses deux voyageures une bande de 5 Maori ennivre a l'alcool arriva ils eurent droit a la degustation d'oursin, aux blaguede bourres...
Le Cape reinga c'est le bout du bout de la nouvelle zellande, apres un joli coucher de soleil, ils mangerent des patates douces comme presque tout les soires depuis 3 semaines c'est bon et gratuit. Sam qui dormer dans le vans ce fit reveiller par de violent coup de main. c'est l'ONF local qui lui dit que c'est interdit de dormir la sur le parking merci mais c'est le matin trop tard...C'est sous la pluit qu'il partirent a Matai bay pour pecher (toujour pas de poisson), lire et ramasser des coquillages.

Paragraphes quatrieme :
Variante a Wellingtown pour dadou

Une fois embarque dans un semi-remorque lance a fond sur les routes de campagnes, le petit dadou se voit mourir bon nombre de fois lorsque d autres semi-remorque arrivent en face sans avoir l intention de ralentir. Par une belle nuit etoile le camion roule, roule pendant 13h00.. Vue panoramique sur l ensemble du paysage..
Le chauffeur d un accent impossible parle a dadou pendant des heures alors que celui-ci ne comprend pas un mot, ni meme le sens de la conversation.
Fatigue par toute cette route, Damien s endort confortablement, lorsqu il se reveil il ne comprend pas pourquoi le chauffeur n est plus le meme.. Un peu flippe par ce dernier evenement il comprend rapidement qu il y a eu un changement. C etait d ailleurs l heure de se reveiller car le dernier chauffeur lui ordonna de descendre ... ici !
But there is nothing mister... You have to go.. ha, ok, see you...
Place au milieu d une bretelle d autoroute (merci chauffeur) dadou trouve une voiture de flic pour l emmener jusqu a THE capitale of New Zealand.. Wellingtown. Jolie bourgade qui compte bien moins d habitants qu Auckland. Ville de caractere, ou les gens marchent sur ces fameux trottoirs couverts pour ce rendre au quartier des affaires, un peu comme la city de Londres. Y a rien a voire mais tout le monde y va..juste pour voire.
Pas trop de voitures, ni d enfants (peut etre etaient-ils a l ecole?!).
Une fois avoir retrouve la cousine de Damien celui-ci profite allegrement de ce que l on appel communement une salle de bain. Le type qui a invente l eau chaude est un bon type! Promenades ici et la, magasins de kitesurf obligent, mais pas assez de sousous. Faut planter vachement plus de patates que ce que dadou a plante pour s acheter un kite. Mais celui-ci n a pas dis son dernier mot!
Wellingtown est une ville animee par sa jeunesse heteroclite, ses bistro ou dans chacun il y a un ecran geant avec, du matin au soir, du rugby. Les gens dans la rue sont tres ouverts. Il suffit d engager une conversation pour que celle ci se prolonge dans un bistro ou meme chez eux. Ce fut le cas avec un Israelien qui l ammena dans son salon.. Sympa le bonhomme, dadou se sentait a l aise mais pas assez pour l informer que son frere bosse au Liban (les meilleurs amis des Israeliens).
Apres quelques promenades dans les environs de la capitale il est temps de dire au revoir a la zine qui rentre en France pour prolonger son visa.
Damien qui connait par coeur toutes les rues pietonnes decide de retrouver ses amis qui lui manquent tellement.
Retour en car (13h00) jusqu a Whangarei. Les lecteurs qui sont un peu musiciens pourront observer que l itineraire de l Ile du Nord ces deux derniers mois dessine a peu pres une cle de sol! Et l ecologie dans tout ca..

Paragraphes quatrieme : Le voyage continue

jeremy et sam partirent donc en direction de la ville de whangarei, apres une courte halte dans cette bourgade. ils degoterent une ptite crique bien symphatique ou les deux compagnons essayerent leur tres rudimentaire materiel de peche mais le poisson manque ou bien l'experience. Ils roulerent vers baie of islande ou ils degoterent un ptit coin tranquile de foret plein de moustique mais jolie. La ville de Paihia est la ville la plus touristique de nouvelle zelande ou ils y passerent deux jours a ecrirent, dessiner, kayaker, visiter et se ballader notament dans une foret en eau magnifique. un soire une demoiselle belge ferrue de velo et de voyage discuta avec eux dans un anglait compreensif.

lundi 15 décembre 2008


Paragraphes troisieme : travail dans la patate douce

Apres leur arrivée à Dargaville, le patron Mike fut appelé et ils le suivirent jusqu'à la ferme. Au faite ils ne travailent pas dans la récolte des clémentines mais dans la plantation de patate douce.... bravo !
Les trois loustiques furent installé dériére une grange pour 10 jour, ils s'installerent confortablement (montage de la tente...........). Le petit campement fut sujet de quelques rires de la part du patron et de quelques sympatiques ouvriers.
Le lendemain c'est donc la premiére journée de travail pour les trois gas, ils commencérent par aller couper des plant de pomme de terre d'environ 15 cm de haut, ils les mettent dans des caisses et jo (un ouvrier) les charge dans le pick up. Apres ils partirent épioter les plants un par un dans un hangar avec une équipe d' une douzaine de personne composer essenciellement de maori (populations polynésiennes autochtones de Nouvelle zelande. Ils s'y seraient installés par vagues successives à partir du 8eme siecle. Ils sont, à l'aube de l'an 2000, plus de 600 000).b Sur un fond de mauvaise radio l`ambience est certes tres repetitives mais assez cheleureuse. Il y a aussi une équipes tracteur composée de 4 personnes et de sam (pas le notre) sont boulot consiste a promener les chien en quad et a regerder les serres des plant de patates douce.
L'apres midi sous une pluie batante ils « apprirent » a planter, ils sont assi dérriére un tracteur et plantent encore encore et encore. Une rangee fait 275 plants, ils fesaient entre 5 et 13 rangees par jour. Vive l`inventeur des mp3 !!!! Les autre jours furent une alternance de ses trois activitées.
Mike le patron fut trés gentil avec les trois french people comme ils disent, ils ont eu le droit de manger chez lui a trois reprises avec un super repas a chaque fois, du poisson pecher de la journee trop bon, 2 restos, la visite d'un observatoire et la visites des gros de chez gros arbre (le plus gros a 2000 ans fait 6m de diametre et cube 244m3). La total quoi, et en plus ils les paye !! ils ont pas oublié le sense d'acceuillir les étranger dans ce pays ils lui proposérent de prendre notre cher president en stage pour lui apprendre les rudiments de l'hospitalite.
A la fin d'une journee de travaille ils trouvérent 2 ras dans le vans entrain de manger un ptit couscous avec du fromage. Dit donc les rongeures c'est pas le carnaval ni le Noël aller on dégage. La desission fut prise de mettre des tapettes dans le vans et paf plus de rats, ding non.
Le weekend mike les a enmené a la peche en 4*4. Tout dabord colin un ami de mike les enmena sur la plage ou on a le droit de rouler c'est quarement une autoroute le truc. On scruta la mer pour appercevoir des poissons mais il n'y en avait pas. C'est bredouille qu'ils rentrairent, ducou pas de peche.
Les journees furent souvent longues, les pauses de midi archi courtes (20-30min), mais bon ils pouvaient manger des patates douces a volonte et ca c`est pas negligeable. A la fin de ses dix jours ils y eu une grosse tawa avec les ouvriers et le patron ou beaucoup de biere coula. Le lendemain de la fete les trois french furent invité pour la soirée chez des maori dans la cambrousse perdu, ce fut trés chaleureux ils vurent une partie de la population encors inconnue pour eux.
Damien part direction Wellingtone avec un camion de patates douce pour faire un tour chez sa cousine. Jeremy et Sam eux restent dans le nord et se dirigeant vers bay of island pour prendre des vacances dans un lieux qui a l`aire plus que sympas...

samedi 13 décembre 2008

Paragraphe deuxieme : Bay of plenty

Paragraphe deuxieme : Bay of plenty

Ils parttent de la ferme aux 150 vaches direction new pymouth ou une alte course fut effectuer. Puis ils prirent la route direction Roturoa. Les paysages se suivent mais ne se ressemble pas, il y a de la jungle des cotes, des cfalausens, des collines et surtout personne. C’est le genre de pays ou si tu croise quelqu’un en voiture tu te stop pour lui demander si il a pas besoin de quelque chose. Pour la nuit les trois comperes degoterent les berges d’un ptit lac bien sympathique.

Ils visiterent Roturoa ville touristique ou sa pue mais c’est normal la cause des sourses d'eau chaud. Ils tentairent de trouver un travail en vain.

Puis ils quiterent cette ville pour une autre Taouranga sur la cote est, a l’arriver un bain dans le pacific sous la pluie avec des grosses vague et possement du campement aux bord du pacific.

Le lendemain visite de la ville de taouranga et dam et jeremy partirent a la recherche d’un magazin de kitesurf qui n’exister pas. Mais ils trouverent un gas qui donner un cour de kite surf. A la fin de sont cour le gas fit tester un cerf volant et un render vous fut pris quand il y aura du vent on le rappelle.

Les trois compere decidere de rester dormir dans le parc ou a eu lieux la rencontre avec douche chaude toilette etou.........aux matin ils se firent reveiller par les chien des personne agee (des vieux pour les jeunes) qui font leur promenade matinal.

Le lendemain il fut decider d'aller voire a quoi ressemble les forets, ils partirent donc se promener au millieus de la jungle des arbres en paigaille,des liannes..... l'impretion d'etre perdue tout y est !

Pour le soire ils deciderent d'aller caller le camion pres du pacific, a cote il y avez un autre camion d'allemand (il y en a beaucoup dans cette region du monde), Apres un tour a la mer ils revinrent au camion en ayant eu la bonne idee de laisser la clef dedans tout en prenant bien soin de fermer toute les porte avant, bref le coup classic, les allemand pretent bien un couteau suisse mais bon c'est pas top pour ouvrir un van. Apres un bon quard-heur il trouvere la faille, passerent un file de fer dans la fenetre de la porte coulissante et ils crocheterent la porte malin. Apres une reunion ils mires le fil de fer sur les bar de toit du camion pour ne pas gallerer la prochaine fois.

Enfin, apres trois jours d'attente il y du vent prevue pour le lendemain, ils garent le camion pres du spote.

Le lendemain il furent tout juste pres pour la premier lecon de kitesurf. Sa commence, ils s'arnachent et c'est partie pour un partie de bon dans l'eau, de buvage de tasse salee et de bonheur.A la fin il arrivent presque a tenir debout mais le vent manque bref ume matine bien mouillee.

Apre une recherche sur le net ils obtenures un numero pour du travail dans les clementines aux nord d'aukland ils appellairent et bingo. L'apree-midi fut consacree a la visite du mt taouranga et apres un repas (d'ailleur si quelqu'un a la recette de comment faire la pollente on veut bien parceque la pollente pas cuite c'est pas top) et une nuit sur une presqu'ils.

Le lendemain ils mirent les voiles ou plutot les barres de toit vers le nord, une alte a aukland pour se rappeller des souvenires du debut, une autre pres de la mer et ils arrivent a Dargaville.

mardi 25 novembre 2008

Chapitre quatrième :la suite dans l`ile nord…

Paragraphe premier: La ferme aux 150 vaches…
Avant de faire le moindre bout de route sans musique ils s`achetèrent un sound système et purent alors avancer. La ferme de Su et Georges se trouve a une 50taine de bornes dans la campagne. En plus de ces deux aimables personnes il zy trouvèrent le fils de 19 ans (cheveux long), la fille de 16 ans (cheveux long), le filston de 11 ans en permanence colle a la tele ou a l`ordinateur, l`ouvrier de 20 ans (cheveux long) qui logeait dans la super grosse roulotte, et d`un couple d`Autrichien wwoofer. Une semaine Durant nos trois compagnons logèrent dans une somptueuse tente proche d`un big palmier. Au niveau des horaires de travail ce fut moins la joie que la semaine qui précédait, ça commençait approximativement a peux près vers les 11h et finissait quand ça finissait. Désherbage, tronçonnage, fendage de bûches, rangeage de bûches, démontage de poulailler, confectionnement de fromage… ce fut sympathique. Ils purent mettre a profit leur temps libres pour la coustumisation (l`aménagement) de leur camion… un grand lit, 2 bancs, une table et plein plein de rangements… comme ils l`avaient souhaite. Damien remis également a “neuf” ce qu`il pouvait du moteur… Pour changer leur repas de midi était compose de quelques misérable toasts garnis, cette fois ci ils eurent la chance de pouvoir manger debout dans la cuisine. Ne soyons tout de même pas de mauvaise foie, la cuisine du soir assurait grave, même si peut être la quantité n`égalait pas notre panse. Jerem sam et dam vécurent dans une atmosphère assez paisible, mis a part peut être lors qu`ils virevoltaient sur le trampo familial. (c`est extrêmement courant de voir des trampo dans les jardins Neozelandais). Le camion est fin pret et remplis de vivres gargantuesques, les 3 purent prendre la route vers la region de bay of prenty pour peut etre y trouver du travail...

vendredi 21 novembre 2008


paragraphe sixieme wwoof a new plymouth


La maison est coincee dans une zone residencielle a 10 min du parc ou ils ont campe. Ce n'est donc pas une ferme mais une maison avec un jardin est un poulailler. La famille est composee de jo-anne, sa fille et une colocatrice. Les trois wwoofers travaillent 4 heures le matin et l'aprem ils vont se ballader. Le travaille varie entre peinture et jardinage.
En fin de semaine ils deciderent de chercher un camion dans la celebre ville du savon, Jo-anne les enmenent faire le tour des concesionaires de la ville en vain. Jo-anne appella une annonce du journal, le type vient avec son van, il est grand, pas cher il est ok niveau vignette et tout, allez ils le prennent. Apres une negotiation ils l'achetent 2700 $. rendez vous pris pour le lundi pour la livraison.
Le dimanche dam et jeremy sont alles en stop a une competion de kite surf pour des renseignements. Le lundi le van est livre ils allerent a la poste pour les papiers et hop ils sauterent dans le nouveau van tout neuf de ses 500 000 bornes direction le cash convertor pour acheter de la vaisselle et une guitare. Dans l'apres midi ils allairent au prochain wwoof.

lundi 10 novembre 2008

Paragraphe cinquième : wwooof à Oakura

Ils partirent donc de la ville du savon en stop pour aller à 14 km au sud. Ils sont pris par le gérant d'un bar à Oakura, arrivés sur place ils allièrent rendre visite à la mer en se baignant grosse vague et fraîcheur sont là.

Là recherche du wwoof fut rapide on leur proposa de les emmener, ils sont accueillit par colin qui fit visiter la propriété de 5 ha :

un grand jardin, un verger, 1 poney, 2 brebis, 7 vaches, 1 chèvre, 1chien et des chats

la famille se compose de colin le père, de Michel la maman et de Jimmy et tara les enfants.

Les wwoofer sont logé dans une maison on ils y a tout le confort qu'il faut (trop bien)

le repas de midi fut composé de toasts avec entre des tomates et du concombre

Ils ne sont pas encore tout à fait bilingue, c'est donc tout surpris qu'on les emmena au surfshop local car colin crue qu'ils vouait acheter un surf.

Le premier travaille fut de désherber le verger après deux bonnes heures de travailles ils allèrent voire à quoi ressemble la plage qui est a 800 m c'est de la boulette gros vague et surfeur.

Le repas du soir fut bon et copieux.

Le lendemain matin le travaille fut du jardinage pendant trois heures l'aprème ils allèrent à la plage surfer avec les combines et les surfs des hôtes.

Les journées suivante furent toutes construite pareille le matin ils travaillent et l'aprèm ils surfent soit sur les vagues ou sur internet à là bibliothèque municipale.

Jerem eu un accident de débroussailleuse avec un faisan, bilan : une volaille aux four le lendemain

préparer par dam.

Paragraphe quatrième: New Plymouth, la ville du savon...

Se munissant de leur pouce gauche (ça fait bizarre) et de leur beau sourire, nos 3 autostopeurs galèrent un peux avant de se faire prendre par 3 loustiques en 4x4 qui les posent 25 minutes plus loin au bord de la route. Beaucoup de voitures rasent leurs pouces. Ils cassèrent alors la croûte et recommencèrent ensuite de ne pas avoir de succès. Stratégie: G1 (damien) s'en vas sur la route pour réduire le facteur masse humaine. Un p'tit bout de temps plus tard les trois se retrouvent dans la voiture d'un sympathique néozélandais en direction de leur destination: New Plymouth. Arrivé sur place l'autopreneur leur proposa de téléphoner à la ferme chez un de ses amis qui finalement n'était pas à la maison. Il les laissa alors à quelques pas d'une cabine téléphonique qui les informa que la ferme qui devait les héberger n'était plus en mesure de le faire... Ils zétaient 3, la carte de la ville trop petite ne leur permettait pas de se localiser, le soir allait rapidement venir. Ils retairent muet et évasif durant quelques instants puis partirent à la conquête de la périphérie de cette ville inconnue pour trouver où crécher. Vus les dépenses qu'ils zavaient déjà faites , l'option Backpaker (auberge de jeunesse) fut écartée. Le sourire revint aux lèvres quand ils trouvèrent, au milieu des lotissements à l'américaine, une oasis. De beaux arbres quasi exotiques les entouraient, une p'tite rivière coulait, l'herbe était tondue, des oiseaux bizarres sifflotaient... C'est évident qu'ils zinstallèrent campement ici. Ils regardèrent un film et s'endormirent paisiblement au son du clapotis de l'eau et de quelques oiseaux extraterrestres.

Le lendemain ils furent charmé par l'absence de vent dans leur cheveux et par le ciel bleu comme schtroumph qui dominait les arbres fougère. Ils zen profitèrent pour faire une matinée cirque et lecture. Chacun son challenge: Dam et Jérèm s'entraînèrent aux 4 massuess (dont l'objectif à terme est le 5 massues) pendant que sam essaie de marcher sur les mains. Après une bonne plâtrée de pâtes (clin d'oeil aux acteurs du réchaud-trip qui n'avaient pas de réchaud) ils plièrent bagages et les planquèrent dans les plantes avoisinantes. Cherchant la plage, ils passèrent par un magasin de plongée dont la dame leur affirma que la plage est à 2km dans cette direction. La marche sur la côte maritime dura une bonne heur..., ils jugèrent la plage "naze" et s'en retournèrent au campement. En chemin ils furent étonnés de trouver une bouteille de ... Chartreuse. Et oui celle qui vient de Voiron, Isère, France en version 1L jaune ou verte 35 ou 40$.

Pour vous lecteurs et rien que pour vois une petite aparté sur la ville Néozélandaise: Les rues sont quadrillées, les immeubles les plus hauts n'ont que deux étages et demis, il n'y a pas de rue piétonne, quand le bonhomme passe au vert ça veut dire que dans 3 secondes il serra rouge, tout sa agrémenter d'une douce mélopée.

Les journées se suivent et se ressembles les trois acoliques alternent entre jonglage, lecture et session internet au mcdo qui est à l'autre bout de la ville.

Dam et jerem testèrent l'ambiance des bars de la ville (très chaleureuse et c'est le bordel dans new plymouth ). sam écrit sur le zap book et travaille le blog.

Une gros journée pluie fit rester le trois compères toute une journée dans la tente a siester et lire

après la pluie le beaux temps c'est sous un grand beau qu'ils se lève, après une réunion ils décidèrent de passer une nuit dans une auberge de jeunesse en ville, le campement fut levé et ils se mirent a marcher, là un autochtone du pays leur proposa de les emmener (va marcher au bord de la route en france tu peut attendre longtime avant que quelqu'un de propose). A l'auberge prise de douche, internet, tel au wwoof (ils sont accepter pour le lendemain) repas.

Paragraphe Troisième: Wanganui...

Lautostop a bien marché. Les beaux paysages défilent à 110km/h (vitesse autorisée sur nationale). Leur autopreneuse maori appuya sur le klaxon de sa BMW en passant devant le cimetière de ses ancêtres. Il y a en Nouvelle-Zéland énormément de cimetières sans gros murs en béton.

Wanganui est une ville dans laquelle les gens sont quand même vachement plus aimables qu'à Grenoble. En l'espace de 20 minutes, pendant qu'ils élaboraient une stratégie, 3 personnes les interpellèrent pour savoir s'ils ont besoin d'aide. De plus, sur la route du camping, le Mr arrêta son gros 4x4, leur demanda leur destination à très court terme et les y emmena. Il y avait environ 7km. Nos amis furent bien content de n'avoir pas dus parcourir cette distance avec leurs gros sacs à dos.

Il fallait faire les courses. Donc après une analyse de la plage ouest de la NZ (fin sable noir, innombrables troncs et branches artistiquement rognés par le sable projeté par le vent, et puis des vagues des vagues et des vagues) les deux groupes de l'avant veille reprirent leur occupation.

Le camping était aménagé de douches et d'une cuisine cool! Grossièrement dit durant la journée du lendemain (le 28 octobre) ils ne firent rien de particulier à part une lessive et un aller-retour en ville. Depuis le début de leur voyage le vent n'avait cessé.

Suite à cette deuxième nuit au camping ils déménagèrent. Un p'tit tour sur internet à Mc Do (Bravo!) leur prouva la grande spontanéité des fermes wwoof: 18 messages envoyés, 15 réponces! Malheureusement seulement 2 furent positives. Ils prirent la décision d'aller à New Plymouth au nord de leur position pour travailler dans zune de ces fermes.

vendredi 7 novembre 2008

Paragraphe second: le court épisode Ohakune
durant les arrêts successifs du train Dam, Sam et Jérèm se rendirent compte que Ohakune, leur destination risquait d'être fraîche. En effet Ohakune est une statio de sports d'hiver. Ils marchairent et le refirent à nouveau pour finalement faire 2 groupes. G1: Sam dont la mission était de monter les tentes dans le champ dans lequel ils entreprirent de passer la nuit. G2 cherchaient quelque part quelque chose à se mettre sous la dent.
Ils firent la connaissance avec l'étrange chant d'oiseaux indigènes alors qu'ils mangeaient.
Aux allant tours de 6hpm, suite à leur copieux dîné, ils eurent une envie somnolente et décidèrent de faire une p'tite sièste et de se relever vers la suite pour, dans la soirée, rencontrer la population autochtone.
Ils ne se réveillèrent que le lendemain à 6h30 (ça fait quand même la 3zième fois qu'ils se lèvent aussi tôt!). Suite à un très maigre déjeuné (1 pomme/perssonne), ils burent respectivement un café, un thé et un chaucolat chaud servis par le monsieur vachement mous. Les 6 ppels aux fermiers WWOOF eurent des réponses négatives. Les 3 décidèrent de fuir le froid perçant pour aller se réfugier aau bord de la mer à Waganui.

mercredi 5 novembre 2008

Chapitre troisième en attendant le camtar


Paragraphe premier : édition spéciale trains nz

Nos amis se réveille à 6H30 par des bruits de pas sur des marches voisines. Après avoir récupérer leur affaire dans le casier de la gare, ils firent connaissance avec le premier train, en voici quelques sympathiques caractéristiques:

- le train est un hybride entre un tram et un vraie train

- il faut emmener ses bagages aux wagon bagages

- Une dame te donnera un numéro de place

- à chaque gare il faut attendre que tout le monde ait mis ce qu'il faut dans le wagon bagages et aient demandé à la dame où il faut s'asseoir

- Les railles, sans doute en terre sèche, produisent interminables secousses verticales, horizontales et longitudinales

-Les petits sacs poubelle doivent être mis dans le grand sac poubelle qui passe toutes les 3h

-Incompréhensible et insupportable voix de la dame du micro il faut supporter étant donné qu'ils se trouvent dans train qui est non seulement normal mais de surcroît touristique

-Il faut patienter durant une demie heure dans une gare en attendant que l'ensemble des voyageurs ait mangé

Mis à part ces quelques bricoles les paysages, les forêts, les colines, les vaches, les moutons, sont magnifiquement bizard. Nos 3 amis se plaisent à sortir à l'avant du train où se trouve une plate forme de 4m² sur laquelle le vent souffle fort et où on entend la présence des railles qui finalement sont bel et bien en fer.

Paragraphe troisième: Ca a failli être le dernier jour à Auckland...

La mission de cette 25ième journée d'octobre fut pour nos copains de trouver un français qui leur échangerait son camtar contre un joli chèque. Ah oui ce récit à oublier de préciser évidement nos compagnon n'ont pas de traveller's chèques... ça aurait été beaucoup trop facille!!! La second option était de trouver une automobile à 1300$(leurs unique cash) pour une ou deux semaines et la revendre après pour en racheter une meilleure par la suite.

Ayant échoué leur mission, ils élaborèrent une nouvelle stratégie: Partir d'Auckland afin de fuir la ville, les dépenses excessives de dollars et les demoiselles trop chaudement habillées pour une température trop froide. Au passage les 3 remercient Mr manteau inventeur du manteau.

Midi approchait alors que les jambes supportant masse de bagages les menaient d'abord à la gare thoutchou puis au réel emplacement géographique de la gare.

Il était 3h PM il n'existent plus de transport en commun entre auckland (1200000 hab) et la capitale wellingtone bravo

Prévision d'une nouvelle nuit dans la ville de instabilité climatique L'aprés-midi des 3 collègues de route fut consacrée a absorption d'une bière, d'une partie d'age of enpire en réseau et de la lecture.

Albert Park représente bien la bizare flore d'Auckand :

grand palmier, eucaliptus, des arbre tordus et plein d'autre truc bizare ce qui plairaient a JR. bien entendue toutes les demi heures la pluie ponctua le sommeil et la bâche de sam ne peux pas toujours protéger de tout. Les trois humains ont trouvée refuge dans une maison à l'américain (comme toute les autre maison d'ailleurs).

Cette nouvelle rencontre fit dire à jeremy la future phrase légendaire "Par rapport à la nouvelle zellande la chartreuse c'est le sahara " et en effet après renseignement il pleut entre 1200 et 6500 mm d'eau dans le pays des kiwis. En parlant de kiwis ont peut affirmer que Gaelle Echelard est vénéré un peut partout dans le pays.

vendredi 31 octobre 2008

photo de sam

Comme tout le monde le demandait voici une photo de sam les cheveux couts

mardi 28 octobre 2008

Paragraphe second: jour second...
A 6h30 am, en ce vendredi matin, leur esprit émergea. L'avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt, ils mangèrent du riz et des kiwi. S`ils zavaient mangé du bacon, leur p'tit dèg aurait tété représentatif de la population auckllandienne. Ils posèrent leur bazar dans grandes casier, réservèrent à kiwi international hôtel (qui à 24$ (12\) est 8$ moins cher que l'auberge) et poursuivent la quête DU camtar qui devrait faciliter leurs déplacements et freiner les dépenses. Ils passèrent de longues dizaines de minutes à essayer de défaire les casses têtes dans le marché qui se trouvait sur leur chemin. Après quelques recherches relativement fructueuses ils burent une délicieuse bière et eurent une quasi illumination sombre. "On peut retirer autant de sous qu'on veut d'un seul coup?!?!?!" La douzaine de distributeurs qu'ils essayèrent par la suite leur prouvèrent qu'il y avait une faille dans l'organisation des trois Rhône alpiens. Pendant que leur tête cherchait une solution, leur bouche mastiquait un kébab bon, beaucoup plus légumés que ceux de vos contrées, vous cyber lecteurs.
Ils allèrent se promener au port.
Plus tard, ils croisèrent un joli bus qui appartenait à une association de producteur qui proposaient aux passants de goûter leurs produits.
Lors de cette journée les aventuriers comprirent une importante vérité à Auckland: La pluie annonce le soleil dans la demi heure qui suit et inversement. La stratégie: anticiper la pluie en s'équipant quant ils fait beau et inversement. Ce récit mentirait si il disait que la stratégie a été appliquée.

Paragraphe troisième: Les retrouvailles des copains...(du chapitre premier)

Damien fut le premier à atterrir à l'autre bout du monde. La malle chance lui tombat alors dessus tans qu'elle le pouvait encore. Cette vilaine lui avait dérobé son porte feuille dans la soute de l'avion volant. Depuis cet instant Damien ne possède plus son beau porte feuille, son argent, son permis de conduire, la photo de sa chère dulcinée ainsi que sa carte bancaire. La possession de cette dernière aurait pourtant put être très utile à la communauté par la suite pour acheter le camtar.
Mais revenons à nos oignons... Après avoir fait opposition Damien passa une agréable nuit sur de confortables coussins rouges, rêvant à ses balles de jonglage que la sécurité néozélandaise avait dénudée de leurs graines.
Quand nos deux autres copains atterrirent à l'aube du jour suivant il fallu également passer leurs sacs au peigne fin. Les battons de réglisse furent jetés, les tentes désinfectées. Ils se posèrent énormément de question au sujet des graines de gwarana de Sam ainsi qu'au sujet de sa queue de cheval qui logeait dans le bazar du sac à dos. Après de chaleureuses embrassades ils entrèrent dans le bus direction...

Chapitre second: Auckland un séjour rallongé...

Paragraphe premier: The first day...
...Auckland.
Dans ce fameux bus ils firent la connaissance d'un Allemand dont ils ne connurent pas le nom. Disons... Hans. Très sympa il connaissait notre langue. Leur première réelle action en territoire Néozélandais fut d'acheter de quoi faire plaisir à leurs estomacs.
Ils ne le savaient pas encore mais la météo de leur arrivée (couvert, ventue et humide par à-coups) occupera leur quotidien pendant au moins quelques jours.
Hans devait aller à ce qu'il appelait la gare pour y poser ses affaires dans un casier. Les trois copains le suivirent dans la navette gratuite, ils avaient comme but de mettre fin à une envie urinaire de plus en plus présente. Nos amis, fidèles à eux même, loupèrent l'arrêt et ressortirent du bus à quelques mètres de leur point de départ: les bans abrités du vent sur lesquels ils mangèrent 20 minutes auparavant.
Après zavoir fait leurs zadieux à Hans, ils partirent en quête d'un camtar. Beaucoup d'annonces placardent les murs des commerces et des nombreux cyber café. Ils se renseignèrent auprès du barman (auquel ils ont achete quelques bonnes bières (des vrais demis)) pour connaître le fonctionnement téléphonique du pays d`accueil. Ils purent alors téléphoner à Antoine Pelletier, vendeur d'un camtar à bon prix, qui les informa de l'achat par un autre humain du désiré van.
Leur bagages furent alors posés en Auberge de Jeunesse YNA pour pouvoir aller au carpark (lieu de trafic autorisé d'automobiles) et se rendre compte que c'est trop cher ou trop p'tit.
Nos amis s'endormirent tôt (7h30pm) sous la pesante enclume de la fatigue. Damien s'octroya cependant le droit de regarder un p'tit film sur le pitit tordinateur de Jérèm. La nuit fut bonne, des camtars faisaient le tour de leurs rêves.
Paragraphe second: L'envol et potentiellement atterrissage...
Le lendemain de la veille de leur départ, Jérèm et Sam montèrent à Paris en TGV. Damien quant à lui, pris le RER ligne C. Arrivée au terminal 1, Sam et Jérèm se mirent à la recherche de leur compagnon qui, d'après de sources sures, se trouve au terminal 3 qu'il faut rejoindre en navette. Damien leur avait, dans le passé, donné RDV devant la plus grande entrée de l'aéroport. La fabuleuse légende de Damien, LE type qu'est organisé, est tombée à l'eau plouf. Toutes les entrées sont de la même grandeur. Après avoir exploré de font en comble ce lieux ils se retrouvèrent finalement.

Damien partit à 12h25 en direction de Singapour, les deux autres partirent à 14h découvrant petit à petit ce que c'est que de prendre l'avion.
Le groupe de deux fut accompagné dans l'avion par l'équipe de tournage de Pékin Express, si si c'est vrais. Même qu'à côté de Jérèm y'avait le médecin de l'équipe. Sinan ce qu'ils trouvèrent bien c'est la boisson à volonté, le premier repas et le planage. Ce qu'ils trouvèrent nul: les 11h d'avion sans pouvoir bouger, et sans pouvoir prendre l'air, la télé qui marchait moyen et le 2zième repas. Arrivé à Hong-Kong ils prirent le bus en ne sachant pas exactement où ils allaient atterrir et si c'était loin. C'était loin mais le paysage était plaisant. Dans leur ZAP BOOK (carnet de bord) ils inscrivirent quelques différences par rapport à Grenoble. En voici quelques unes:
- Grandes barres d`immeubles
- Echafaudages en bambous
- Les gens sont tout ptit
- I conduisent a gauche
- Y`a plein plein d`arbres et de buissons bizarres
Ce fut très sympas de se balader dans une ville bizarre mais il faisait chaud gras et il ne fallait pas louper l'avion.
Hong-Kong --- Auckland: no comènt. Ils dormirent bien étant donné qu'ils n'avaient pas réussi à dormir dans l'autre

Chapitre premier: Les retrouvailles des copains...

Paragraphe premier: les pré-retrouvailles...

Nous sommes le lundi 20 octobre, c'est le soir fady est entrain d'attendre Clémence chez elle à Lyon. Damien... Alors, Damien passa ses 2 dernières semaines aupres de sa princesse en Espagne. Dimanche soir il arrive en engin aéronautique à Paris Beauvais (qui, contrairement aux apparences est vach'ment loin de Paris (on appelle ça un comble)). Ayant RDV le soir même avec JR qui était assurément prévenu il pris le RER de manière catastrophique en direction de Versailles. Ne connaissant pas exactement son adresse il appela bon nombre d'amis afin de récupérer le numéro de téléphone de JR dit le "boulet". Le boulet en question multirécidiviste dans cette discipline, avait le portable éteint. Commençant à se poser des questions quant à son sort il demanda à tout hazare à une dame si elle ne connaitrait pas le célèbre Jean Rémi. "Nan! Par contre je peux aller voir sur Internet. Tien v'la mon numéro". ...plus tard... "Alors son adresse c'est blablabla". Damien se croyant sauvé, le sourire aux lèvres alla chez JR avant de se heurter au code digital. "gital" Finalement notre aventurier fut invité chez la dame. Damien se rendit dans la classe de JR. Tous étaient là mais JR n'était pas là!!! La coloque de JR conduisit Dam's chez JR, mais JR n'était pas là! Finalement ils se rencontrèrent vers les 10h. Tout ça pour arriver lundi soir où il rit bien avec JR et ses coloques. Ce matin là, JR ne fut pas studieux. Bref nous savons ce que faisait Damien et Jéméry mais que faisait Samuel?
a. Cherchait son passeport.
b. Coulait son dernier escargot en plomb.
c. Se faisait couper le cheveux par Nina.
Réponse bonne: c

Prelude

Dans des temps reculés 3 types, dénommés respectivement Jérémy, Damien et Samuel, décidèrent de s'inscrire au LEGTA de la côte St André. Au fur et mesure des temps morts, du jonglage et des retrouvailles en fin d's'maine ils devinrent copain. Suite au lycée ils entamèrent chacun 2 longues années d'apprentissage. Celles ci furent peux riches en vacances. Vacance est un espace temps durant lequel les travailleurs se reposent du labeur effectué en organisant leur vie comme bon leur semble. Cet espace temps procure du bonheur et permet par ailleurs que le travailleur travaille mieux. C'est entre autre dans cette optique (non pas de travailler mieux) que nos trois copains décidèrent de changer d'air. Damien entraîna alors ses deux camarades dans le "projet" de partir à la conquête du paysage et du bon temps de la Nouvelle Zélande.
Ils avaient une brève idée de ce qu'il feront et verront à l'autre bout du monde, mais seul ce récit connaît les rebondissement de cette aventure.